Très jeune, je commençais à jouer au foot dans le quartier et je fus pris par un violent attachement et une passion sans bornes quant à ce bout de cuir à l'apparence anodine.
Il devenait, ainsi, naturel de rêver d'intégrer les rangs du Club Sportif d'Hammam-Lif, d'honorer ces couleurs verte et blanche et de porter aussi dignement que les illustres gloires de notre chère hamhama le fanion de ce club au passé glorieux et au présent livide.
D'année en année, ce rêve s'envolait devant mes yeux désabusés. Chaque saison, à la période d'essai où l'ont testait les jeunes, je me disais qu'il n'était toujours pas trop tard et que ce sera pour une autre fois.
Plus tard, je me résolus à rêver d'être un jour à la tête du club mythique de la ville que je chérissais.
Au fil des jours, j'ai compris que ce n'était pas aussi simple que cela d'être président du CSHL:
Devoir "mendier" pour ramener des sponsors, ne recevoir qu'une très faible aide de la municipalité et du gouvernorat, se sentir esseulé, impuissant et incapable de rendre au club tout son éclat et surtout ne pas pouvoir dormir de la nuit de peur que l'histoire ne retienne de ton passage que le pire des qualificatifs dans le cas ô bien malheureux où le club se trouvait relégué pendant ton mandat.
Alors, surajouté à ton malheur de supporter de voir ton club dégringoler, tu devras assumer que dans les livres d'histoire ton nom ne soit pas écrit en gras italique mais en caractère anodin...
Comme si ce club aurait aimé que tu n'aies jamais répondu à son appel, abstraction faite, avec une effroyable spontanéité de tous les efforts et toutes les concessions que tu aurais pu faire...
Comme si ce n'était pas suffisant, à Hammam-Lif, tout le monde a un avis bien trempé sur les questions footballistiques de leur ville et tout le monde lance des rumeurs à tout va.
De son coin bien tranquille, du fauteuil confortable dans lequel il se vautre, l'hammamlifois lambda se fout de la gueule du président du club et des dirigeants.
Peu importe s'ils donnent de leur temps précieux et de leur argent pour que vive à jamais le CSHL, glorieux, intouchable et serein...
"Il faut que telle personne parte!", "C'est notre club et pas celui des autres !"....
Ainsi que d'autres slogans à la sonorité bien agréable mais qui au fond n'apportent rien de vraiment précis.
Ne parlons même pas des insultes qui fusent de toute part à l'encontre du président du club dés que l'équipe joue mal, comme s'il était le seul responsable à bord...
Personnellement, je ne suis pas d'accord avec la gestion actuelle du club par Mongi Bhar.
On ne sent pas une vraie politique étudiée dans les recrutements. Bien des fois il prend des décisions seul et contre tous et accapare de ce fait, le pouvoir.
Mais force est de constater que ce monsieur ramène de l'argent pour renflouer les caisses du CSHL et très rares sont les personnes capables de le faire.
Ce qui fait, que pour le moment c'est l'unique homme de la situation.
Réveillons-nous !
Pourquoi d'après vous personne ne présente sa candidature au moment opportun ?
Pourquoi selon vous beaucoup de gens préfèrent aider de loin voire se désinvestir du club totalement ?
Parce que le public, avec ses sarcasmes, ses insultes, son irrespect et ses accusations le plus souvent infondées les dissuadent largement.
Il est légitime pour nos supporters d'aspirer à bâtir une grande équipe, à réclamer une certaine continuité dans l'effectif et dans le staff technique ainsi que de vouloir revoir nos objectifs à la hausse.
Cependant, je me demande pourquoi les masses n'affichent jamais autant de force et de violence quand il s'agit de mettre la main à la patte et d'aider concrètement.
La très faible affluence pour participer à la collecte qu'on avait organisé ou pour se procurer les abonnements en sont les parfaites illustrations...
A bon entendeur !
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Un début de mercato triste
On: lundi 7 juin 2010
L'entraineur Buscher et le préparateur physique Thomas Mohr qui monnaient avec beaucoup d'exigences leurs contrats respectifs avant de partir pour Bizerte.
Des joueurs qui nous filent régulièrement sous le nez. Il y a même des enfants du club sur la liste des partants.
(Sofiene Ksaïri, pour ne citer que cet exemple)
Saber Khelifa, l'incontournable leader de l'épopée du maintien de l'année dernière finissant dauphin au classement des buteurs avec zéro pénalty tiré, qui revient à l'EST et nous laisse perplexes.
En contre partie rien de vraiment réjouissant.
Un entraineur qui est connu excellentissime théoricien mais aucune expérience probante en tant qu'entraineur.
De plus, que pourrions nous demander à une entraineur s'il n'a pas de joueurs valables à sa disposition.
Pour couronner le tout, le public hammamlifois, à la fois avare de son argent et généreux de critiques, plombe l'atmosphère.
Les dirigeants, disent-ils d'un ton accusateur, doivent se mettre au boulot !
Mais si vous savez tellement ce qu'il faut faire et que vous n'êtes pas satisfaits, allez-y !
Faites le vous-mêmes !
Notre club manque cruellement de ressources...
Nous sommes le club le plus pauvre de la division 1.
Même le promu gabésien compte plus de deux milliards et demis de budget alors que nous ne disposons même pas de la moitié.
Nous avons, en revanche, le Boukornine et Sidi Bouriga et bien sûr Dieu le Tout Puissant.
On annonce le retour au bercail de Larbi Mejri, et le renouvellement du contrat de Cissé, le doyen de notre équipe.
Attendons et croisons les doigts (c'est gratuit, si la question vous taraude) pour que la grisaille qui nous coupe le souffle maintenant se dissipe et nous permette enfin de respirer.
Des joueurs qui nous filent régulièrement sous le nez. Il y a même des enfants du club sur la liste des partants.
(Sofiene Ksaïri, pour ne citer que cet exemple)
Saber Khelifa, l'incontournable leader de l'épopée du maintien de l'année dernière finissant dauphin au classement des buteurs avec zéro pénalty tiré, qui revient à l'EST et nous laisse perplexes.
En contre partie rien de vraiment réjouissant.
Un entraineur qui est connu excellentissime théoricien mais aucune expérience probante en tant qu'entraineur.
De plus, que pourrions nous demander à une entraineur s'il n'a pas de joueurs valables à sa disposition.
Pour couronner le tout, le public hammamlifois, à la fois avare de son argent et généreux de critiques, plombe l'atmosphère.
Les dirigeants, disent-ils d'un ton accusateur, doivent se mettre au boulot !
Mais si vous savez tellement ce qu'il faut faire et que vous n'êtes pas satisfaits, allez-y !
Faites le vous-mêmes !
Notre club manque cruellement de ressources...
Nous sommes le club le plus pauvre de la division 1.
Même le promu gabésien compte plus de deux milliards et demis de budget alors que nous ne disposons même pas de la moitié.
Nous avons, en revanche, le Boukornine et Sidi Bouriga et bien sûr Dieu le Tout Puissant.
On annonce le retour au bercail de Larbi Mejri, et le renouvellement du contrat de Cissé, le doyen de notre équipe.
Attendons et croisons les doigts (c'est gratuit, si la question vous taraude) pour que la grisaille qui nous coupe le souffle maintenant se dissipe et nous permette enfin de respirer.
Le blog revit
On: vendredi 19 février 2010
Ce blog reprend du poil de la bête après quelques mois de mort apparente.
Le CSHL se déplacera ce dimanche pour rencontrer l'USMo. Les bleus passent en fait par une période de doute, l'une des plus mauvaises depuis plus d'une dizaine d'années.
Ils nous devancent au classement d'un seul point. C'est dire si cette rencontre est à gagner absolument ou au pire, nous pourrions nous contenter d'un seul point.
Bonne chance aux verts qui ont montré de très belles dispositions lors de la rencontre face à l'AS Kasserine à la maison et qui restent sur deux victoires consécutives et pas des moindres.
Pour grimper au classement et se sauver, il n'y a pas trente six milles solutions. Notre salut passera par Monastir Inchallah !
Le CSHL se déplacera ce dimanche pour rencontrer l'USMo. Les bleus passent en fait par une période de doute, l'une des plus mauvaises depuis plus d'une dizaine d'années.
Ils nous devancent au classement d'un seul point. C'est dire si cette rencontre est à gagner absolument ou au pire, nous pourrions nous contenter d'un seul point.
Bonne chance aux verts qui ont montré de très belles dispositions lors de la rencontre face à l'AS Kasserine à la maison et qui restent sur deux victoires consécutives et pas des moindres.
Pour grimper au classement et se sauver, il n'y a pas trente six milles solutions. Notre salut passera par Monastir Inchallah !
الأبعاد الإنسانية لسباعية نظيفة
On: samedi 9 mai 2009
بصراحة السبعة نومرو طالما حيرني.
فما بلدان رقم السبعة فيهم يقضي أكثر من وزير، وفما بلدان أخرى يعبدوه عبادة السبعة، تي فما حتى إلي البنية فيهم كي تكون مسبوعة يتسمى مقياس جمال ورشاقة.
فما سبعة سماوات وسبعة طبقات في الأرض حسب ما جاء في كتاب الله... وفي نفس السياق أبواب الجنة سبعة وأبواب جهنم سبعة...
في الشكبة، شخصياً نخير تكون عندي السبعة الحية على ألف تشكيبة...
الجمعة بيدها فيها سبعة أيام...
وحتى في جمهورية غانا، بجانب مدينة نعسان، رقم السبعة يقدسوه تقديس.
وهو الحقيقة، نومرو سبعة عندو ما يقول في روحو فهو أكثر الأرقام أناقة، ووهرة... تقول عليه مكستم وحاصر اللحية ومزلق شعرو لتالي...
السبعة ملك جمال في شمال إفريقيا، وحتى في آسيا الصغرى.
أنا بيني وبين روحي، ما كان عندي حتى مشكل مع السبعة (نتجاوزو المرة إلي صبحت عليه ما جاوبنيش)...
أما يا أخي السبعة فسدها معايا... أنا كمحب للنادي الرياضي لحمام الأنف، ما عادش عندي حتى قابلية باش نحكي معاه السبعة.
هذه عملة يعملها ؟
حتى حد ما منعو باش يحضر في مباراة كرة يد، وإلا كرة طائرة وإلا كرة سلة. أما يجي في مباراة كرة قدم يحب يسجل حضورو ؟ فهذا شيء لا يطاق!
وضد النجم الرياضي الساحلي وفي سوسة بالذات.
الحمدلله إلي ربي رزقنا القدر الكافي من الروح الرياضية باش يوصل واحد ينبر على روحو. وكل ما نتمنى أن الثمانية ما تكملش تفسدها حتى هي ولا ترصيلي نقطع النوامر إلي خلقها ربي الكل
Le Club Africain fait les frais de l'orgueil hammam-lifois
On: mercredi 11 mars 2009
La presse tunisienne fait des siennes.
Ils racontent que notre gardien charismatique Anis Zitouni, clubiste de formation en compagnie de notre attaquant vedette Mohamed Ali Ghariani prêté au CSHL depuis l'année dernière par le CA, justement feront en sorte que leur ancien club gagne ce match en dessous de la table.
C'était un match capital pour les deux équipes...
Le CA obligé d'empocher les trois points pour ne pas perdre la première place, le CSHL défendant son orgueil et celui bien-entendu de la plus majestueuse des montagnes... J'ai cité le Boukornine !
Quand le match a commencé, j'étais déjà hors de moi. Chantant à tue tête: "Hamhama dawla w khchina 3likom !!!"
Nos joueurs étaient bien là dans les duels.
Ghariani et Khelifa deux attaquants d'une classe inouïe.
Anis Ben Chouikha, encore et toujours inégalable!
Slim Cissé et Doka Evans, avec l'abnégation des grands guerriers !
Slema, Naoues et tous les autres étaient à la hauteur de nos aspirations!
Hamhama au bout de 90 minutes de pur bonheur où ils ont donné littéralement une leçon de football pour le leader du championnat a fini par s'imposer sur le score de 3-1.
Les gens se sont étonnés.
Pas nous!
Parce qu'on savait depuis tellement de temps qu'on avait une équipe talentueuse et à qui il manquait simplement d'avoir confiance en ses moyens.
Fethi Laâbidi et son adjoint Hassine Ben Sedrine, nos deux valeureux hammam-lifois ont su hisser le CSHL à la place qu'il méritait!
Nous avons retrouvé le CSHL qu'on a longuement applaudi par le passé, les passes courtes, le jeu porté sur l'offensive, les innombrables illuminations de Ben Chouikha (alias kaaboura) et le public hammam-lifois au nirvana !
On a toujours été fier d'appartenir à cette banlieue sud dont beaucoup sous-estiment le potentiel et l'histoire.
Merci de nous avoir fait pleurer de joie, Merci de nous avoir fait atteindre les sommets de l'Himalaya...
Merci d'avoir été les trouble-fête de ce championnat.
Hamhama de mon coeur, merci d'exister !
Ils racontent que notre gardien charismatique Anis Zitouni, clubiste de formation en compagnie de notre attaquant vedette Mohamed Ali Ghariani prêté au CSHL depuis l'année dernière par le CA, justement feront en sorte que leur ancien club gagne ce match en dessous de la table.
C'était un match capital pour les deux équipes...
Le CA obligé d'empocher les trois points pour ne pas perdre la première place, le CSHL défendant son orgueil et celui bien-entendu de la plus majestueuse des montagnes... J'ai cité le Boukornine !
Quand le match a commencé, j'étais déjà hors de moi. Chantant à tue tête: "Hamhama dawla w khchina 3likom !!!"
Nos joueurs étaient bien là dans les duels.
Ghariani et Khelifa deux attaquants d'une classe inouïe.
Anis Ben Chouikha, encore et toujours inégalable!
Slim Cissé et Doka Evans, avec l'abnégation des grands guerriers !
Slema, Naoues et tous les autres étaient à la hauteur de nos aspirations!
Hamhama au bout de 90 minutes de pur bonheur où ils ont donné littéralement une leçon de football pour le leader du championnat a fini par s'imposer sur le score de 3-1.
Les gens se sont étonnés.
Pas nous!
Parce qu'on savait depuis tellement de temps qu'on avait une équipe talentueuse et à qui il manquait simplement d'avoir confiance en ses moyens.
Fethi Laâbidi et son adjoint Hassine Ben Sedrine, nos deux valeureux hammam-lifois ont su hisser le CSHL à la place qu'il méritait!
Nous avons retrouvé le CSHL qu'on a longuement applaudi par le passé, les passes courtes, le jeu porté sur l'offensive, les innombrables illuminations de Ben Chouikha (alias kaaboura) et le public hammam-lifois au nirvana !
On a toujours été fier d'appartenir à cette banlieue sud dont beaucoup sous-estiment le potentiel et l'histoire.
Merci de nous avoir fait pleurer de joie, Merci de nous avoir fait atteindre les sommets de l'Himalaya...
Merci d'avoir été les trouble-fête de ce championnat.
Hamhama de mon coeur, merci d'exister !
Hamhama contribue à évaporer l'espoir de l'espérance!
On: dimanche 22 février 2009
Marre d'entendre à tout bout de champ que notre CSHL adoré est "bent l'espérance" et d'être taxé par beaucoup, d'équipe bis de l'espérance qui en contre-partie nous fournit des joueurs à la demande pour nous permettre de nous maintenir en division 1.
Hier on a montré que le seul emblème qu'on vénère est celui qui porte l'effigie du Boukornine, la montagne mythique qui surplombe la banlieue sud.
Un gardien qui saute de coin en coin tel un fauve déchainé, une défense qui s'est battu jusqu'au dernier souffle à l'instar de notre axe défensif composé du duo Evans-Cissé qui en a fait baver des Eneramo, Bienvenue et plein d'autres...
Anis Ben Chouikha toujours égal à lui-même... La figure emblématique de notre équipe n'a pas démérité non plus même si à l'occasion de ce match, il s'est plus attelé à des taches défensives pour renforcer notre arrière-garde...
L'arbitre Meddeb n'a pas été impartial succombant à la pression du public espérantiste venu en nombre soutenir son équipe à la veille du derby et aussi certainement au pouvoir de je ne sais quelle main secrète dont les agissements ne seront peut-être jamais mis à nue...
La preuve en est cette pression qu'a subi notre attaquant vedette Saber Khelifa tout au long de la semaine qui a précédé le match pour l'empêcher de jouer... Ce qui est le comble de l'amateurisme dans un championnat qui se déclare "professionnel"...
Ou les six minutes ajoutées pour permettre à l'espérance de se rattraper... Heureusement que la justice divine existe...
Ghariani impérial a su faire taire les mauvaises langues... Hamhama dawla w khchina 3likom !!!
Hier on a montré que le seul emblème qu'on vénère est celui qui porte l'effigie du Boukornine, la montagne mythique qui surplombe la banlieue sud.
Un gardien qui saute de coin en coin tel un fauve déchainé, une défense qui s'est battu jusqu'au dernier souffle à l'instar de notre axe défensif composé du duo Evans-Cissé qui en a fait baver des Eneramo, Bienvenue et plein d'autres...
Anis Ben Chouikha toujours égal à lui-même... La figure emblématique de notre équipe n'a pas démérité non plus même si à l'occasion de ce match, il s'est plus attelé à des taches défensives pour renforcer notre arrière-garde...
L'arbitre Meddeb n'a pas été impartial succombant à la pression du public espérantiste venu en nombre soutenir son équipe à la veille du derby et aussi certainement au pouvoir de je ne sais quelle main secrète dont les agissements ne seront peut-être jamais mis à nue...
La preuve en est cette pression qu'a subi notre attaquant vedette Saber Khelifa tout au long de la semaine qui a précédé le match pour l'empêcher de jouer... Ce qui est le comble de l'amateurisme dans un championnat qui se déclare "professionnel"...
Ou les six minutes ajoutées pour permettre à l'espérance de se rattraper... Heureusement que la justice divine existe...
Ghariani impérial a su faire taire les mauvaises langues... Hamhama dawla w khchina 3likom !!!
Le CSHL aux hammam-lifois
On: mercredi 4 février 2009
Après tant d'années à privilégier des mercenaires qui n'avaient rien à cirer de l'intérêt du club tant que leur paie de la fin du mois était disponible, une nouvelle ère vient de voir le jour.
Le Bureau Directeur a décidé de donner sa chance aux enfants du club, aux adorateurs du boukornine et à tous ceux que seules les couleurs blanche et verte inspirent.
Après la désignation de Fethi Laâbidi comme entraineur du club, c'était au tour de Hassine Ben Sedrine d'être nommé adjoint de l'équipe séniors de football.
A contempler l'équipe aussi, on se rend compte que c'est en fait une orientation générale dans la gestion du club: Ahmed Harrane, Walid Hamrouni, Anis Ben Chouikha, Helmi Ben Miled, Jebali, Hafedh Naoues... proviennent tous des espoirs du club et les jeunes dont dispose actuellement le CSHL et qui attendent encore leur tour à l'instar de Kaâb et j'en passe sont tous aussi prometteurs les uns que les autres.
Nous saluons cette démarche et nous y voyons l'unique voie du salut de ce club légendaire !
Le Bureau Directeur a décidé de donner sa chance aux enfants du club, aux adorateurs du boukornine et à tous ceux que seules les couleurs blanche et verte inspirent.
Après la désignation de Fethi Laâbidi comme entraineur du club, c'était au tour de Hassine Ben Sedrine d'être nommé adjoint de l'équipe séniors de football.
A contempler l'équipe aussi, on se rend compte que c'est en fait une orientation générale dans la gestion du club: Ahmed Harrane, Walid Hamrouni, Anis Ben Chouikha, Helmi Ben Miled, Jebali, Hafedh Naoues... proviennent tous des espoirs du club et les jeunes dont dispose actuellement le CSHL et qui attendent encore leur tour à l'instar de Kaâb et j'en passe sont tous aussi prometteurs les uns que les autres.
Nous saluons cette démarche et nous y voyons l'unique voie du salut de ce club légendaire !
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